Les machinations avec "MAID", le projet de suicide légal assisté par l'État au Canada deviennent de plus en plus étranges. On sait depuis des années que les organes des donneurs sont prélevés sur les cadavres. En fin de compte, cela peut aussi expliquer pourquoi des projets cinématographiques de qualité hollywoodienne font maintenant la promotion du « suicide légal » au Canada et pourquoi la voie a été tracée pour que les malades mentaux en phase terminale puissent choisir la dernière étape. On espère maintenant qu'il sortira pour les 12 ans.

Ce n'est probablement pas seulement la réduction planifiée de la population, mais aussi l'avidité pour l'argent sur le marché des organes, qui est déterminante pour le "succès" du projet AMM au Canada. De plus en plus de Canadiens meurent avec « l'aide médicale à mourir » – leurs organes sont apparemment prélevés et réutilisés. Incidemment, cela soulève également la question de savoir pourquoi il y a un besoin d'organes qui sont censés être prélevés sur des patients en phase terminale. Une maladie en phase terminale n'est pas une exigence pour participer au programme au Canada. De plus, il y a l'affirmation que la majorité des patients atteints de cancer profitent de l'offre. Mais qui veut des organes d'un patient cancéreux ?


Le programme fédéral de lutte contre le suicide au Canada est tout sauf un phénomène marginal. 3,3 % des décès au Canada sont dus à l'AMM, soit 10 065 personnes en 2021. 65 % d'entre elles souffraient d'un cancer diagnostiqué comme incurable.

Depuis 2017, il y a eu des reportages dans les médias canadiens selon lesquels les victimes de suicide donneraient leurs organes pour sauver d'autres vies :

En 2019, 113 dons d'organes ont été enregistrés par des victimes de suicide en Ontario. Cela représentait 5% de tous les dons d'organes dans la province canadienne.

Citoyen d'Ottawa
 
Le Canada a décriminalisé l'euthanasie médicalement assistée en 2016, et l'Ontario est immédiatement passé à l'avant-garde du don d'organes et de tissus AMM par l'intermédiaire de Trillium (le Réseau Trillium pour le don de vie surveille le don d'organes en Ontario), devenant ainsi la première juridiction au monde à s'occuper de manière proactive personnes autorisées à pratiquer l'euthanasie pour discuter du don d'organes. Lorsqu'un décès est imminent, que ce soit à l'hôpital ou à l'aide d'une AMM, selon la loi, Trillium doit être avisé.
Pensez à la direction que prend une société où les gens choisissent le suicide assisté par l'État plutôt que l'itinérance - puis font prélever et réutiliser leurs organes - toujours à grands frais. N'oublions pas non plus qui est derrière et qui finance le lobby du suicide : les multimilliardaires suspects habituels qui ont constamment exprimé leur intérêt pour les vaccinations de masse, les avortements de masse et la réduction de la population.

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