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On ne sait plus s'il faut en rire ou en pleurer. Le ridicule de l'OMS est absolu ... mais en fait cache quelque chose de beaucoup plus sinistre, la perversité amenant de fait la volonté de banalisation de la pédophilie. Et surtout, surtout, les masses d'argent générées par la banalisation du changement de genre. Dans la société occidentale, soumise aux règles du capitalisme prédateur, au règne de Big Pharma, tout est bon pour générer de l'argent, même et surtout en encourageant les opérations de changement de genre, .... ce qui garantit également infertilité et par conséquent dépopulation.

Via x.com par John Galt, j'ai trouvé son développement intéressant à lire, en voici la suite.

L’OMS choisit en effet des activistes trans pour établir les règles mondiales en matière d’éducation des enfants ... et moins de la moitié du panel a une formation médicale.

L’OMS, l’agence des Nations Unies pour la santé, vient en effet d'accorder aux militants transgenres la majorité des sièges d’un groupe d’experts chargé d’élaborer des politiques de santé pour les enfants.


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Onze des 21 membres du panel de l’OMS n’ont aucune formation médicale formelle, sept sont transgenres et seulement dix ont une formation médicale, selon un rapport du Daily Mail.

Ce panel d'experts comprend en effet des membres de l'Association professionnelle mondiale de la santé transgenre (WPATH), dont deux anciens présidents ; des activistes trans travaillant au sein du réseau Global Action for Trans Equality (GATE) ; des parents d'un enfant trans-identifié ; et d'autres experts reconnus pour leur soutien explicite aux personnes LGBT.
Parmi les experts figurent également des représentants d'entreprises pharmaceutiques.

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L’un des experts serait un activiste trans canadien controversé qui a une forte influence sur l’application chinoise TikTok et affirme que les bloqueurs de puberté devraient être prescrits à tous les enfants, quelle que soit leur identité de genre, afin qu’ils puissent "choisir" leur genre plutôt que d’en être assigné un par la société ...

Un autre membre du comité de l’OMS affirme que la transition ne cause aucun problème de santé et affirme que les seuls "effets secondaires réels" d’un changement de sexe sont une "qualité de vie considérablement améliorée... et la joie trans".

Le reste des membres du panel est un mélange d’activistes, de défenseurs de la justice sociale ("social justice warriors"), d’avocats des droits de l’homme, de chercheurs sur les MST et de conseillers politiques, rapporte le Daily Mail.

Un autre membre du comité, Ashley – un homme biologique qui s’identifie comme une femme et utilise les pronoms "ils/elles cette salope" – a un tatouage sur lequel on peut lire : "sois gay, soit criminel".

Ashley, qui a co-écrit une étude qui affirme que les bloqueurs de puberté et les thérapies hormonales "devraient être traités comme l’option par défaut" pour les enfants atteints de dysphorie de genre, a un nombre important d’abonnés sur TikTok où il appelle à la suppression des contrôles de santé mentale sur les enfants trans avant qu’ils ne reçoivent des bloqueurs de puberté et des médicaments hormonaux.

"Y a-t-il une raison de demander aux gens de passer par une évaluation de genre longue et complexe afin d’accéder à des soins d’affirmation de genre, ou est-ce inutile et devrait-il mieux consacrer du temps à la prise de décision ?", aurait déclaré Ashley.

"Et ce que notre article conclut, c’est qu’il n’y a vraiment aucune preuve que les évaluations de genre fonctionnent – c’est juste un processus plus long sans raison réelle", a-t-il ajouté. "Les évaluations de genre sont vraiment une forme inutile de contrôle à laquelle les communautés trans s’opposent depuis un certain temps."

A noter que «Florence» Ashley, membre du corps professoral de la faculté de droit de l’Université de l’Alberta, dont le surnom est «They/Them/That B-tch», a été la première juriste «ouvertement transféminine à la Cour suprême du Canada.

Ce militant transgenre a soutenu dans un article de 2019 pour Clinical Child Psychology and Psychiatry que «les bloqueurs de puberté devraient être utilisés comme l’option par défaut» pour les enfants au lieu de «laisser la puberté suivre son cours».

«Les bloqueurs de puberté placent structurellement les futurs hormonaux transgenres et cisgenres dans une symétrie approximative. Les jeunes qui prennent des bloqueurs de puberté ont toutes les options possibles, leur corps n’étant altéré ni par la testostérone ni par les œstrogènes. Bien que beaucoup de choses restent inconnues sur les effets à long terme des bloqueurs de la puberté, les preuves empiriques limitées et l’expérience clinique nous permettent de supposer que, quels que soient les risques présentés par les bloqueurs de la puberté, ils n’excluent pas les parcours de vie futurs autant que le fait la puberté».

Pendant ce temps, le porte-parole de l’OMS, Tarik Jašarević, insiste sur le fait que les directives sur les questions trans se concentreraient sur les "adultes seulement" et non sur l’utilisation d’hormones, de suppresseurs et de chirurgies sur les enfants.
Ben voyons ... 

"Les lignes directrices de l’OMS sont toujours fondées sur la mise en balance des preuves disponibles, des principes des droits de l’homme, de la prise en compte des préjudices et des avantages et des contributions des utilisateurs finaux et des bénéficiaires", a déclaré M. Jašarević.

Néanmoins, certains membres du comité de l’OMS expriment haut et fort leur soutien à l’idée de permettre aux enfants – dont certains n’ont que 13 ans – de subir de telles procédures médicales.

Le groupe de l’OMS établira des lignes directrices mondiales sur les moyens par lesquels les travailleurs de la santé du monde entier peuvent améliorer l’accès "et l’utilisation de services de santé de qualité et respectueux par les personnes trans et de diverses identités de genre".

"Le panel de l’OMS est composé principalement d’avocats spécialisés dans la justice sociale et les droits de l’homme qui pensent que l’approche de l’affirmation de genre est la seule option", a déclaré Stella O’Malley, psychothérapeute et directrice exécutive de Genspect, au Daily Mail.

"[Ils] détermineront les lignes directrices en matière de soins pour les personnes transgenres, mais ils n’ont personne pour représenter l’équilibre critique au sein de leur panel" a-elle ajouté. "L’approche affirmative du genre est présumée par l’OMS comme la seule voie à suivre et rejette ainsi la psychothérapie conventionnelle."

"Il s’agit d’une approche étroite d’esprit et fortement biaisée", a affirmé O’Malley. "L’OMS commet une grave erreur, elle devrait mettre ce processus en pause et consulter les nombreux professionnels qui ont des approches différentes."
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Les lignes directrices de l'OMS à suivre concernant les opérations de changement de genre, concerneraient le droit de changer d'identification de genre immédiatement après avoir annoncé un changement de genre, par exemple sur les réseaux sociaux.
Entre autres choses, ce paragraphe suppose une augmentation de la disponibilité des médicaments hormonaux nécessaires au changement de sexe des citoyens, notamment grâce à des subventions gouvernementales.

La composition du groupe de l'OMS chargé d'élaborer les recommandations a été annoncée le 18 décembre 2023 et le débat public a été ouvert jusqu'au 8 janvier 2024. Une réunion du groupe pour finaliser les décisions est prévue du 19 au 21 février 2024.

L’OMS travaille ainsi à la mise en œuvre juridique de l’agenda transgenre dans le monde entier.

Cela a commencé dès juillet 2023. L'OMS a alors discrètement commencé à élaborer des "lignes directrices" sur les interventions transgenres. Selon C-Fam, cette mesure avait pour but de lutter contre la propagation rapide des interdictions et des restrictions sur les "interventions chirurgicales et les médicaments transgenres, en particulier pour les enfants", et serait orientée vers "un accès et une utilisation accrus de services de santé de qualité et respectueux par les transgenres et des personnes de genres divers" [sic]. La mission de l’OMS comprendrait "l’éducation et la formation des agents de santé" (l’endoctrinement des professionnels de la santé) ainsi que la "reconnaissance juridique de l’identité de genre autodéterminée" (la mise en œuvre des prémisses transgenres dans la loi).

C-Fam rapportait à l’époque que les personnes impliquées dans la création de ces lignes directrices étaient, sans exception, "investies dans l’élargissement de l’accès à des protocoles médicaux "transgenres" de plusieurs milliards de dollars, y compris pour les enfants mineurs". Quelques noms sont significatifs : Chris McLahlan, psychologue spécialisé en «soins transgenres», Elma de Vries, co-auteur avec McLahlan des lignes directrices pro-LGBT de l’Association professionnelle mondiale pour la santé des transgenres (WPATH), Cianán Russell de l’ILGA-Europe, un lobby LGBT représenté à l’Union européenne, et Ayouba El Hamri, un militant transgenre.
En bref, il n’y a jamais eu de doute quant aux intentions de l’OMS : créer un cadre qui aiderait à la mise en œuvre juridique de l’agenda transgenre dans le monde entier.

Comme toujours avec l’OMS, les choses ne peuvent qu' empirer.

Le 28 décembre 2023, Unherd a rapporté que l’OMS prévoyait d’annoncer prochainement de nouvelles recommandations élaborées par des radicaux LGBT, y compris des "militants trans" du réseau Global Action for Trans Equality (GATE), et au moins un membre ayant des liens étroits avec l’industrie pharmaceutique.

Sont par contre absents de ces discussions les gens critiques, les cliniciens concernés, les experts en développement de l’enfant et de l’adolescent, les spécialistes du neurodéveloppement.

Les pires propagandistes de l’idéologie transgenre veulent donc absolument s’emparer des enfants.

L'OMS, veut donc de fait placer tous les enfants sous bloqueurs de puberté.

Les activistes du panel d'experts choisis par l'OMS pour rédiger les règles relatives à l'éducation des enfants, suggèrent donc que tous les enfants, sans exception, soient placés sous bloqueurs de puberté.

Ce qui est terrifiant, c’est que l’idée de soumettre en masse les enfants à des drogues manifestement nocives n’a pas été considérée comme disqualifiante. Les bloqueurs de puberté ont un impact sur le développement du cerveau, réduisent la densité osseuse et retardent la croissance. Ils risquent d’empêcher l’utilisateur d’atteindre son QI maximal, d’inhiber la fonction sexuelle, d’épaissir le sang, d’augmenter jusqu’à cinq fois le risque de crise cardiaque, de créer un risque plus élevé de diabète, de caillots sanguins et de cancer, et peuvent entraîner une atrophie vaginale.

Les militants transgenres pourront bientôt affirmer que les "lignes directrices de l’Organisation mondiale de la santé" soutiennent unanimement chaque objectif du mouvement transgenre et qu’il est de notre devoir de "suivre les experts".

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Toute cette folie autour des transgenres et du changement de genre, n'est qu'une histoire d'argent. Des milliards sont en jeu, Big Pharma et les dirigeants démocrates aux Etats-Unis se frottent les mains,  car Big Pharma et les très chaines de cliniques pratiquant les chirurgies de modification du genre se frottent les mains, car ces cliniques comptent parmi les gros donateurs du parti démocrate aux USA.

Bien écouter l'interview de 
@TuckerCarlson
  avec son invité Chris Moritz, qui a suivi l'argent.

(1 :11) Le transgendérisme n’est pas une mode
(2 :49) Changement de sexe : une grosse source d’argent
(5 :44) Bloqueurs de puberté
(15 :22) Chirurgies trans : les détails macabres
(16 :40) Blessures
(18 :00) Qu’est-il arrivé aux MGF ?
(19 :00) Les musulmans et les changements de sexe
(20 :15) Merci, Obama
(23-19). Voici le néophalle
(27-23). Les eunuques
(29 :30) Le Pritzker Trans
(31 :00) Le marxisme trans
(36 :30) Qui en profite ?
(38 :10) Les facteurs ESG pour les personnes trans
(39 :47) Effets à long terme



Et la volonté de l'OMS de sexualiser ainsi les enfants, en généralisant les opérations de changement de genre, relève d'une manipulation perverse, avec des visées pédophiles.

Je conseille à tous de bien écouter l'entretien de la grande @ArianeBilheran, qu'elle amené le 6 novembre 2023 en compagnie du docteur Régis Brunod, pour le journaliste de @EpochTimesFR.



« L’éducation sexuelle inflige un traumatisme aux enfants » – Ariane Bilheran et Régis Brunod 6 nov. 2023  PARIS Entretien pour @EpochTimesFR

Ariane Bilheran est philosophe, psychologue clinicienne et docteur en psychopathologie. Spécialisée dans l’étude de la psychopathologie du pouvoir, de la manipulation, de la perversion, de la paranoïa, du harcèlement et du totalitarisme, elle est l’auteur d’une trentaine d’ouvrages et donne régulièrement des conférences en lien avec ces thématiques.

Ariane Bilheran est notamment l'auteur du livre "L'imposture des droits sexuels" dans lequel elle fait le bilan "des dérives déjà existantes en France, au travers de "l'éducation à la sexualité" et décrypte les mécanismes pervers à l'œuvre dans le cadre de la transgression sexuelle des enfants et des adolescents.

Régis Brunod est pédiatre et pédopsychiatre, ancien chef de clinique à la faculté de médecine de Paris et ancien maître d’enseignement et de recherche à l’université de Lausanne. Au cours de sa carrière, il a été expert auprès des tribunaux dans le cadre d’affaires de pédocriminalité. Le Dr. Brunod a écrit plusieurs ouvrages consacrés à la pédiatrie, dont "Préserver l'innocence des enfants" (éd. du Bien commun).

Ariane Bilheran et Régis Brunod analysent les "Standards pour l’éducation sexuelle en Europe", un document publié en 2010 à l’initiative de l’OMS qui vise à définir "un cadre de référence pour les décideurs politiques, les autorités compétentes en matière d’éducation et de santé, et les spécialistes".

Présentés comme "un plaidoyer pour l’instauration d’une éducation sexuelle holistique qui donne aux enfants et aux jeunes, filles et garçons, une information objective, scientifiquement correcte, sur tous les aspects de la sexualité et qui, parallèlement, les aide à s’approprier les compétences nécessaires pour agir en fonction des connaissances acquises", les Standards pour l’éducation sexuelle en Europe proposent une série de recommandations sur les enseignements à dispenser aux enfants dès le plus jeune âge dans le cadre de l’éducation à la sexualité, notamment en milieu scolaire.

Pour ce faire, le document fournit une matrice structurée en 6 groupes d’âge (0-4 ans ; 4-6 ans ; 6-9 ans ; 9-12 ans ; 12-15 ans ; 15 ans et +) et en 8 catégories thématiques (corps humain et développement ; fertilité et reproduction ; sexualité ; émotions ; relations et styles de vie ; sexualité, santé et bien-être ; sexualité et droits ; déterminants sociaux et culturels de la sexualité).         

Ariane Bilheran et Régis Brunod analysent aussi la "Déclaration internationale des droits sexuels" publiée en 2009 par la Fédération internationale pour le planning familial (IPPF) – une ONG qui collabore avec l’OMS ou l’Unicef et qui figure parmi les références présentées dans les Standards pour l’éducation sexuelle en Europe.

Ils se sont aussi interrogés sur l’influence des travaux de l’Institut Kinsey sur les recommandations présentées par l’OMS en matière d’éducation à la sexualité ainsi que sur la séduction exercée par ces théories dans le cadre des politiques publiques menées dans les domaines de l’éducation et de la santé.

Standards pour l'éducation sexuelle en Europe :
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Déclaration des droits sexuels de l'IPPF : Le lien est mort mais ci-dessous les grands titres qui y étaient discutés.

00:00 Introduction
02:43 À qui s’adressent les Standards pour l’éducation sexuelle en Europe et la Déclaration internationale des droits sexuels ?
14:32 Dans quelle mesure les travaux d'Alfred Kinsey ont-ils influencé les questions liées à l'éducation à la sexualité ?
16:40 Quelle est la valeur scientifique des travaux sur lesquels l’OMS s’appuie dans le cadre des Standards pour l’éducation sexuelle ?
25:19 Comment s’explique l’influence des théories de l’Institut Kinsey sur l’OMS et certains professionnels de santé ?
35:26 Quelles sont les conséquences des enseignements recommandés pour les enfants ?
41:50 L’immixtion de l’État dans l’éducation à la sexualité est-elle acceptable ?
54:26 Les questions liées au genre et à l’identité sexuelle ont-elles leur place à l’école ? Les enfants disposent-ils des ressources nécessaires pour en appréhender les enjeux de manière libre et éclairée ?
01:00:37 Quels sont les risques des enseignements liés à la théorie du genre pour les enfants ?
01:03:11 Quelles conséquences pour les professionnels qui s’opposent aux recommandations de l’OMS en matière d’éducation sexuelle ?
01:09:04 En quoi la promotion des droits sexuels participe-t-elle du phénomène totalitaire ?
01:13:26 Conclusion